vendredi 8 août 2014

Poor poor lips

Okashi Nako est pauvre, c'est un peu comme cela qu'elle se définit. Avec son physique enfantin et sa manière de voir la vie toujours du bon côté, elle ressemble un peu à un adorable animal abandonné dans une boîte en carton. En cherchant un travail, elle est embauchée comme vendeuse dans une bijouterie par Ren Otsuka, qui est grande, belle, riche et lesbienne (c'est la première chose qu'elle dit aux candidates à l'embauche), même si Nako Okashi n'est pas son genre de fille.

Ce manga est un peu spécial pour moi, car j'ai commencé à le lire il y a de nombreuses années, il a donc un petit côté nostalgique qui s'y rattache. L'optimisme de l'héroïne est bon moyen d'avoir la pêche, et je ne peux m'empêcher de compatir avec la riche patronne qui a du mal à concevoir les relations personnelles en dehors d'un cadre financier. Je trouve ce manga sucré comme une part de gâteau de pâtissier, celui là, pas forcément le plus flashy ni la spécialité de la maison, mais celui qui vous fait pétiller les papilles, et que vous achetez de temps en temps le dimanche, quand vous avez décidé de vous faire plaisir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire