mardi 15 avril 2014

Dabulu atsu (Double Arts)

Une maladie du nom de Troy frappe le continent. Le malade se charge en toxines, et lorsque la concentration atteint un certain point, celui-ci est pris de convulsions et disparaît, ne laissant derrière lui qu'un tas de vêtements. Les sœurs, choisies pour leur résistance particulière à la maladie (Je dirais qu'elles leur dose létale est 1000 fois supérieure aux autres humains, en ordre de grandeur, mais c'est juste une estimation que j'ai faite selon le récit, qui ne donne aucun chiffre à ce sujet), sont capables d'absorber les toxines des malades et de prolonger leur vie, au détriment de la leur.

Sœur Elraine, en tournée dans une zone reculée de l'empire, est sur le point de mourir de la crise finale de la maladie lorsqu'elle est sauvée par Kiri, un jeune homme qui est aussi une célébrité locale. Lorsqu'elle le touche, les symptômes de la maladie disparaissent. Aussitôt informée (ils ont le téléphone, ce ne doit donc pas être du médiéval-fantastique mais de l'ère Meiji -fantastique, alors), la mère supérieure leur demande de se rendre au siège central de l'ordre pour examiner Kiri, par contre Elraine ne doit pas lui lâcher la main sinon elle mourra. Pour pimenter le tout, une organisation nommée Gazelle cherche à éliminer les sœurs (il faut bien un méchant, sinon les dialogues deviendraient vite une variation sur le thème: "un kilomètre à pied, ça use, ça use...")

Double Arts est un manga de Naoshi Komi, le mangaka de Nisekoi (viva Chitoge!), qui a été interrompu pour cause de manque d'intérêt du lectorat, ce qui est un peu triste parce qu'il y avait du potentiel. L'auteur a réussi à interrompre l'histoire de manière crédible, ce qui est assez fort.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire